Les chiffres parlent d'eux-mêmes: en Suisse, les limites de tolérance aux particules fines (PM10) sont largement dépassées durant toute l'année, et se situent bien au-dessus du seuil admis par l'Ordonnance sur la qualité de l'air. La corrélation entre la concentration de particules fines et les maladies respiratoires, les maladies cardio-vasculaires et le cancer est aujourd'hui communément admise. Dans les villes, 50% des particules fines émanent du trafic motorisé privé. Les médecins en faveur de l'environnement ont établi, en 2003 déjà, un document sur les causes et conséquences des PM10 sur la santé. Le rapport contient également des recommandations. (langue: allemand)